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Les femmes préménopausées atteintes d’un cancer du sein de stade précoce RE positif et HER2 négatif peuvent parfois être surtraitées par chimiothérapie.1-2 À quel moment les risques liés à la chimiothérapie et ses effets secondaires l’emportent-ils sur les bénéfices pour les femmes jeunes ?
EndoPredict peut répondre à cette question en prédisant le bénéfice individuel de la chimiothérapie, ce qui vous permet de déterminer si le risque de la chimiothérapie à 10 ans est supérieur à son bénéfice pour votre patiente. Les patientes préménopausées à faible risque EPclin présentent un risque moyen de récidive à distance de 3 % et un bénéfice anticipé de la chimiothérapie inférieur à 3 %. Par conséquent, le risque d’effets secondaires plus délétères dus à la chimiothérapie de 2 à 3 % l’emporte sur le bénéfice anticipé.
EndoPredict est le seul test de récidive du cancer du sein de deuxième génération validé chez les femmes ménopausées OU NON, atteintes d’un cancer du sein de stade précoce, RE positif et HER2 négatif, avec ou sans envahissement ganglionnaire3-9 – et le seul test de deuxième génération avec des données de niveau de preuve 1A.10,11
De nouvelles données apportent à EndoPredict des preuves prospectives d’études de validation déjà publiées et confirment que le test EndoPredict permet de poser un pronostic du cancer du sein chez des femmes préménopausées et de prendre des décisions thérapeutiques en toute confiance. Ces études montrent que le test EndoPredict identifie clairement les femmes jeunes atteintes d’un cancer du sein avec envahissement ganglionnaire qui pourraient éviter une chimiothérapie.12
EndoPredict est également le seul test qui fournit un risque de récidive à 15 ans pour le pronostic du cancer du sein à long terme3 – en savoir plus sur le test EndoPredict et le risque de récidive à long terme.
Deux essais contrôlés randomisés prospectifs portant sur le test Oncotype DX® de première génération n’ont pas obtenu de résultats clairs quant à la prédiction du bénéfice de la chimiothérapie chez des patientes préménopausées avec ou sans envahissement ganglionnaire, ce qui pourrait conduire au surtraitement de patientes plus jeunes.13,14
Le test EndoPredict identifie clairement un vaste groupe de femmes à risque faible qui ne tireraient aucun bénéfice d’une chimiothérapie adjuvante en raison de leur risque de récidive très faible.9
L’association d’EPclin Risk Score (Score de risque EPclin) à la récidive à distance à 10 ans a été évaluée chez des femmes atteintes d’un cancer du sein primitif RE positif et HER2 négatif, préménopausées au moment du diagnostic et ayant reçu uniquement une hormonothérapie :
Des essais comme RxPonder et TAILORx suggèrent que le résultat d’un test multigénique diffère selon le statut ménopausique, et que les femmes préménopausées bénéficieraient davantage de la chimiothérapie. Cependant, il n’est pas certain que le bénéfice observé dans ces essais avec Oncotype soit un effet direct de la chimiothérapie ou qu’il soit dû à la suppression de la fonction ovarienne (SFO) induite par cette dernière.
L’étude Constantinidou et al. 2022 a réalisé une analyse exploratoire en sous-groupes, comparant les patientes à risque faible EPclin, chez qui une suppression de la fonction ovarienne a été proposée (N = 214) ou non (N = 171). Les résultats ont montré une survie sans récidive à distance à 10 ans similaire chez les patientes avec et sans SFO, avec moins de 5 % de récidive à distance après 10 ans dans les deux groupes. EndoPredict identifie les femmes à risque faible qui peuvent être traitées par hormonothérapie seule indépendamment de leur statut ménopausique.
EndoPredict est le seul test qui possède des données prospectives spécifiquement chez des patientes préménopausées, atteintes d’un cancer du sein.
Détails de l’étude :
Il s’agit des premières données de validation prospectives dans un essai contrôlé randomisé portant sur un test de deuxième génération ; celles-ci confirment les données de validation prospectives-rétrospectives précédentes.
Bien que toutes les patientes, ménopausées ou non, présentaient un envahissement ganglionnaire, celles identifiées par EndoPredict comme étant à risque faible (respectivement 12 % et 15 %) n’ont fait aucune rechute à 10 ans.
Les cliniciens peuvent demander le test pronostique du cancer du sein EndoPredict dans une vingtaine de laboratoires en France.